vous avez été sages et donc voici un nouveau titre en écoute. Je remercie Marcello qui m'a donné l'idée pour ce morceau et je veux dire à Pelleg que j'ai bien travaillé mes lignes de basse.
Les ongles du diable
Sur le côté nord de la cathédrale de Pise
D’innombrables trous dans le marbre
Sont la marque d’une ancienne hantise
Le diable a attaqué et laissé son emprise
Les ongles du diable figés sur le mur
Sont la trace d’un chagrin sûr
Les ongles du diable ancrés sur le mur
Sont la marque des temps qui furent
Pour empêcher la construction de l’église
Le diable a attaqué les ouvriers
Saint Michel en toute franchise
A terrassé l’ennemi sans ciller
Les ongles du diable figés sur le mur
Sont la trace d’un chagrin sûr
Les ongles du diable ancrés sur le mur
Sont la marque des temps qui furent
Le diable repoussé et tombé du toit
A imprimé sa marque identitaire
Entre l’église et le baptistère
On entend son rire narquois
Les ongles du diable figés sur le mur
Sont la trace d’un chagrin sûr
Les ongles du diable ancrés sur le mur
Sont la marque des temps qui furent
Paroles, musique, layout : wanderer
Cette chanson s’inspire d’une légende présente à Pise à propos de la Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. Il s’agit de la cathédrale sur la « Piazza dei Miracoli » où il y a aussi la célèbre Tour qui penche et le Baptistère. Sur le mur du côté nord de la cathédrale, à hauteur d’homme, on trouve une série de trous noirs. Selon la légende, ce sont les signes laissés par le diable lorsqu’il a escaladé la cathédrale pour tenter d’en arrêter la construction. Ces marques sont appelées les ongles du diable. De plus, le nombre de ces griffes varie à chaque fois que l’on essaie de les compter. Selon une autre légende, si on s’arrête à mi-chemin entre l’église et le baptistère on entend le diable rire.
Les ongles du diable
Sur le côté nord de la cathédrale de Pise
D’innombrables trous dans le marbre
Sont la marque d’une ancienne hantise
Le diable a attaqué et laissé son emprise
Les ongles du diable figés sur le mur
Sont la trace d’un chagrin sûr
Les ongles du diable ancrés sur le mur
Sont la marque des temps qui furent
Pour empêcher la construction de l’église
Le diable a attaqué les ouvriers
Saint Michel en toute franchise
A terrassé l’ennemi sans ciller
Les ongles du diable figés sur le mur
Sont la trace d’un chagrin sûr
Les ongles du diable ancrés sur le mur
Sont la marque des temps qui furent
Le diable repoussé et tombé du toit
A imprimé sa marque identitaire
Entre l’église et le baptistère
On entend son rire narquois
Les ongles du diable figés sur le mur
Sont la trace d’un chagrin sûr
Les ongles du diable ancrés sur le mur
Sont la marque des temps qui furent
Paroles, musique, layout : wanderer
Cette chanson s’inspire d’une légende présente à Pise à propos de la Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. Il s’agit de la cathédrale sur la « Piazza dei Miracoli » où il y a aussi la célèbre Tour qui penche et le Baptistère. Sur le mur du côté nord de la cathédrale, à hauteur d’homme, on trouve une série de trous noirs. Selon la légende, ce sont les signes laissés par le diable lorsqu’il a escaladé la cathédrale pour tenter d’en arrêter la construction. Ces marques sont appelées les ongles du diable. De plus, le nombre de ces griffes varie à chaque fois que l’on essaie de les compter. Selon une autre légende, si on s’arrête à mi-chemin entre l’église et le baptistère on entend le diable rire.
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