nous tentons les arpents qui travessent la route
apres les champs sont les bois mysterieux
les brame du cerf fait trembler les feuille de la foret
son cri guttural fend le silense du temple vert
cloués sur place figée par l'ampleur solenelle
comme en plein recuiellement
reclonnecté au vrai nous restont interdits
l'animal hiératique bois levés engloble la carriere
sous les longs cils de son regard tenebreeux
il est fougueusement amoureux
seuls les hérons perchés sur une pate
dans la vase de la grève dulac n'ont pas fuit
rester immobile dans le temps suspendu
apres les champs sont les bois mysterieux
les brame du cerf fait trembler les feuille de la foret
son cri guttural fend le silense du temple vert
cloués sur place figée par l'ampleur solenelle
comme en plein recuiellement
reclonnecté au vrai nous restont interdits
l'animal hiératique bois levés engloble la carriere
sous les longs cils de son regard tenebreeux
il est fougueusement amoureux
seuls les hérons perchés sur une pate
dans la vase de la grève dulac n'ont pas fuit
rester immobile dans le temps suspendu
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